Dyen
MARDI 30 DÉCEMBRE
Un vent de fraîcheur sur la scène techno, DYEN est apparu de nulle part en 2017 et s’est depuis taillé une place bien à lui. Il s’est lancé dans la production à l’âge de 17 ans, avant de signer son premier disque deux ans plus tard. Né et élevé à Rotterdam, il est évident que la capitale néerlandaise du rave a eu une influence majeure sur le jeune producteur. Les sonorités old school du gabber des années 90 et du hardcore originel l’ont marqué dès le début de sa carrière — et continuent encore aujourd’hui à inspirer sa musique.
« En grandissant, j’ai découvert ces kicks incroyables, ces voix et ces lignes de synthé ultra accrocheuses. Je les utilise, mais avec des kicks et des drops plus puissants », explique-t-il — et il suffit d’écouter les morceaux de DYEN pour comprendre exactement ce qu’il veut dire. Il recompose et réinterprète le passé pour en faire quelque chose d’ultra moderne, personnel et brut, qu’il appelle “neorave” ou “old school hard techno” : des kicks percutants et incessants, en tension avec des synthés trance agressifs, créant sur le dancefloor une énergie neuve et singulière.
Avec plus d’une dizaine de sorties depuis 2017 sur des labels tels que GENX, EXHALE, Possession ou Rave Alert, DYEN s’impose solidement dans la sphère la plus dure de la techno.
Lorsqu’il se produit sur les grandes scènes de festivals et clubs internationaux, il reste fidèle à ses deux piliers : le neorave et le gabber. DYEN aime les mélanger avec des disques de hardcore et d’industriel old school, jouant avec le public, construisant ses sets à partir d’un tempo « plus doux » autour de 140 BPM pour ensuite le faire monter, se surpassant et entraînant la foule dans une énergie pure, brute et explosive.
Sa signature artistique s’exprime aussi à travers ses “DYEN Edits”, où il affine ses pépites personnelles pour les moderniser via son regard unique — les transformant en armes de dansefloor puissantes et percutantes.